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Magasins de seconde main au Canada et dans la CEI

Magasins de seconde main au Canada et dans la CEI

Dans l'ancienne Union soviétique, les magasins d'occasion sont souvent considérés avec un peu de mépris. Au Canada, c'est le contraire.

Un magasin de seconde main, ou le familier, bon vieux Second Hand. Pour le citoyen post-soviétique moyen, ces mots évoquent une variété d'associations — de la joie à l'approbation, de l'acceptation du phénomène comme un fait à l'indifférence, du dégoût à un "fi" méprisant.

Quelles émotions ces mêmes mots suscitent-ils chez les Canadiens ? De façon surprenante, c'est la fierté et la satisfaction. Dans certains cas, c'est même une joie que les magasins d'occasion existent. Pourquoi ça ? Simple. La raison principale est que la nature du phénomène est différente ici au Canada et de l'autre côté de l'océan.

D'occasion

Pays de la CEI

Qu'est-ce qui se passe "là-bas", c'est-à-dire dans certaines des anciennes républiques soviétiques ? Les magasins d'occasion sont apparus à une époque où le pouvoir d'achat des gens avait considérablement diminué et où ils avaient besoin de vivre. Et quelle que soit la résistance de la fierté nationale, on ne peut pas manger que de la fierté. C'est-à-dire que vous ne pouvez pas le mettre sur vous.

D'où viennent toutes ces montagnes de marchandises d'occasion qui traversent les frontières par tonnes et sont distribuées instantanément aux points de vente ? Dans la plupart des cas, il s'agit de dons gratuits de la part des habitants des pays d'où ils proviennent. Dans les magasins de l'ex-Union soviétique, ces objets sont parfois vendus à un prix élevé. Et ils ne sentent pas bon. Et ils n'ont pas l'air très bien. Et en général... C'est une activité très rentable.

Et le Canada ?

Les magasins sont remplis d'articles personnels des résidents devenus inutiles. C'est-à-dire qu'il s'agit d'un processus interne. Tout résident peut apporter ce qu'il veut directement dans le magasin et le laisser sur place. Il peut s'agir non seulement de vêtements ou de chaussures, mais aussi de livres, d'équipements sportifs, de jouets, de literie, de meubles, d'appareils électroménagers, de vaisselle, d'objets artisanaux et bien d'autres choses encore. Un personnel spécial triera ces articles : certains iront à la salle des ventes, d'autres au recyclage.

Il y a plusieurs grandes chaînes dans le pays qui ont l'habitude de faire des choses. Par exemple, en Ontario, il s'agit de Value Village, Goodwill et Thrift Store.

D'occasion

De quoi peut-on être fier ? Les Canadiens qui aiment leur pays sont passionnés par l'environnement et ne jettent pas de choses, de peur d'encourager la production ou la surproduction de nouvelles choses. Après tout, le recyclage réduit ce processus, ce qui est très bénéfique pour la nature.

Et si ces derniers, qui sont encore très bons, étaient également utiles à quelqu'un ? Ceux qui ne peuvent plus être utilisés aux fins prévues sont recyclés. De cette façon, une partie des ressources naturelles est préservée. D'où le sentiment de satisfaction.

D'occasion

D'ailleurs, les Canadiens ne se contentent pas de donner, ils sont heureux d'acheter des vêtements d'occasion. Le parking devant les magasins d'occasion est étonnant ; il n'est pas différent de celui des voitures garées devant les boutiques de mode ou les immenses centres commerciaux.

Il n'y a absolument aucune honte à dire qu'un article n'a pas été acheté neuf. Au Canada, ce n'est pas un signe de pauvreté, mais d'amour et de souci de la planète. Ce qui est une chose à laquelle tout le monde devrait peut-être penser. Qu'en pensez-vous ?

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