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Comment les étudiants sont-ils trompés et comment peut-on l'éviter ?
Il y a quelques mois, un scandale a éclaté au Canada : plus de 700 étudiants indiens sont partis étudier au Canada avec de faux documents. Tous se sont déclarés victimes et une enquête a été ouverte.
Tous les étudiants ont été ordonnés à quitter le pays : selon le gouvernement, ils avaient violé les règles d'entrée au Canada en présentant de faux documents. Cela a provoqué un grave scandale dans les médias, les enseignants et les amis du Canada ont commencé à défendre les étudiants, qui avaient tous étudié pendant environ 4 ans dans différentes universités canadiennes.
Malheureusement, ce n'est pas le premier cas et, hélas, ce ne sera peut-être pas le dernier. La semaine dernière, une histoire similaire s'est produite : un groupe d'étudiants indiens est venu au Canada, l'université leur a dit qu'ils "n'étaient pas dans le système universitaire", mais ils ont réussi à s'inscrire dans d'autres universités. Et maintenant, 6 ans plus tard, les gars arrivent au Canada en 2017, on leur dit que les documents étaient faux et qu'ils doivent donc quitter le pays.
L'un d'entre eux était Lovepreet Singh. Son dossier est maintenant en cours d'examen et il doit être déterminé s'il a été ou non victime d'une escroquerie. Il devait quitter le pays mardi matin, mais son expulsion a été retardée. Les avocats, pour qui cette situation n'est plus un scoop, apportent leur aide.
Néanmoins, l'affaire n'a été que reportée pour le moment, jusqu'à ce que toutes les circonstances soient clarifiées. Et Singh ne peut pas se reposer sur ses lauriers, car il a eu beaucoup de soucis à se faire la semaine dernière.
Jusqu'à présent, la situation n'a pas été résolue et soulève de nombreuses questions : Comment quelqu'un a-t-il réussi à tromper autant d'étudiants ? Pourquoi la tromperie n'a-t-elle pas été révélée immédiatement, mais seulement lorsque les étudiants ont décidé de poursuivre leurs études au Canada et ont déposé une deuxième demande de visa ? Et surtout : comment l'ambassade canadienne, qui vérifie soigneusement les documents avant de délivrer les visas, a-t-elle pu passer à côté d'autant de faux documents ?
Après tout, si les garçons ont vraiment été trompés, devraient-ils maintenant abandonner leurs rêves de vie et d'avenir au Canada si l'on a profité de leur vulnérabilité ?
Lovemeet Singh campe depuis plusieurs jours devant les bureaux de l'Agence des services frontaliers du Canada à Mississauga, dans l'Ontario, pour demander un réexamen de son cas.
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Que faire : aider les gars et en faire des citoyens canadiens ou les juger coupables et les renvoyer d'où ils viennent ? Quelle serait l'attitude la plus judicieuse et l'investissement le plus judicieux ?
L'avenir nous dira quelle décision les responsables prendront.
Et si vous voulez aller étudier au Canada, contactez nos consultants en immigration. Ils vous renseigneront sur les programmes d'immigration et répondront à vos questions, et vous pourrez alors être sûr que cela ne vous arrivera pas.