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Le président du parlement responsable de l'incident avec l'ancien SS va-t-il démissionner ?

Le président du parlement responsable de l

Les réactions des autorités canadiennes – et d'autres – face à la situation.

Le scandale de la mise à l'honneur d'un vétéran de la division SS "Galicia" au Parlement canadien ne s'apaise pas. Malgré les excuses du président de la Chambre des communes, Anthony Rota, qui a assumé la responsabilité de ce qui s'est passé, certains s'attendent à une réaction plus grave.

Qui veut la démission de Rota ?

La ministre canadienne des affaires étrangères, Mélanie Joly, et la députée Karina Gould ont appelé Rota à démissionner. Il est intéressant de noter que Mme Joly et Mme Gould sont toutes deux des collègues du parti libéral de Mme Rota. Auparavant, seuls des représentants de partis rivaux avaient insisté sur la démission de Mme Rota : Peter Julian au nom du Nouveau Parti Démocratique et Yves-François Blanchet au nom du Bloc Québécois. Le chef de l'opposition officielle du Parti conservateur, Pierre Poilievre, s'est également prononcé sans équivoque en faveur de la démission de Rota.

Il semble que les libéraux aient décidé qu'il serait préférable pour leur réputation de se débarrasser d'un collègue qui a commis une erreur fatale. Mme Gould a spécifiquement mentionné dans son discours qu'elle est elle-même une descendante de survivants de l'holocauste, et elle est certaine que Rota ne peut plus bénéficier du soutien du parti. Dans le même temps, les conservateurs soulignent qu'ils ont dû confirmer la liste complète des personnes invitées à la réunion le jour de l'arrivée de Zelensky. Ce qui signifie que les libéraux ne pouvaient probablement pas non plus ignorer l'initiative de leur collègue. Ainsi, l'opposition souligne la négligence non seulement de Rota, mais aussi du parti libéral dans son ensemble.

Trudeau sur la situation

Le Premier ministre Justin Trudeau n'a pas contesté que Rota avait mis le Canada dans une position extrêmement inconfortable. Toutefois, le chef du parlement et leader libéral à temps partiel ne s'est pas joint aux appels à la démission :

"C'est une bonne chose que le président Rota se soit excusé personnellement, et je suis sûr qu'il réfléchit maintenant à la manière de garantir la dignité de l'Assemblée à l'avenir.

Le Centre pour les affaires israéliennes et juives est également pleinement satisfait des excuses présentées par Rota. La seule chose que l'organisation attend du parlement est une enquête interne afin d'éviter de telles situations à l'avenir.

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