Les rues de Toronto vont recevoir de nouveaux tramways.
Le gouvernement a investi dans des moyens de transport abordables et respectueux de l'environnement.
Des représentants officiels, dont la ministre des finances Chrystia Freeland, le ministre des transports de l'Ontario Prabhmitt Sarkaria, la maire de Toronto Olivia Chow et le président de la commission des transports de Toronto Jamaal Myers, ont rendu compte d'un événement marquant pour la métropole. Les rues de Toronto accueilleront désormais le premier des 60 nouveaux tramways fabriqués au Canada.
"La ville de Toronto est fière de travailler avec ses partenaires fédéraux et provinciaux pour investir dans des transports en commun écologiques et de grande capacité. Cet investissement majeur de nos gouvernements permettra d'ajouter 60 tramways à zéro émission et entièrement accessibles au parc de la TTC, ainsi que l'infrastructure nécessaire pour soutenir ces tramways. L'augmentation du nombre de tramways desservant notre ville améliorera le service et encouragera davantage de personnes à choisir le transport en commun plutôt que la voiture. C'est une bonne nouvelle pour notre système de transport en commun et pour l'environnement", a commenté Olivia Chow.
Un total de 568 millions de dollars canadiens a été alloué au projet, dont une partie a été consacrée à la production des tramways eux-mêmes et une autre à l'installation de maintenance et d'entretien. En outre, la production des nouveaux tramways à plancher bas et à grande capacité fournit plus de 300 emplois bien rémunérés dans les installations d'Alstom à Thunder Bay, en Ontario.
"Un Torontois prospère, doté de transports en commun fiables et durables, fait partie intégrante de notre plan économique. Tout comme la création d'emplois bien rémunérés pour la classe moyenne au Canada et dans cette ville est au cœur de notre plan économique. Nous investissons dans Toronto et dans son infrastructure de transport", a déclaré Chrystia Freeland.
Les 60 nouveaux tramways fabriqués au Canada seront livrés en 2023, 2024 et 2025. Le projet devrait permettre au Canada de se rapprocher de l'objectif final sur la voie de l'absence d'émissions d'ici à 2050.
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