Le vice-premier ministre canadien pourrait devenir secrétaire général de l'OTAN

Chrystia Freeland est l'un des candidats probables à ce poste.
Le mandat du secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, devait s'achever en septembre, mais il a été prolongé jusqu'en 2023. Depuis des mois, les milieux politiques discutent longuement de la personne qui pourrait le remplacer. La ministre des finances Chrystia Freeland est maintenant au centre des spéculations, alors que les discussions sur sa possible nomination au poste suprême de l'OTAN prennent de l'ampleur.
Au moins quatre sources différentes — à Ottawa, Washington et Bruxelles, où se trouve le siège de l'OTAN — auraient déclaré que le nom de Freeland a été mentionné de manière persistante dans les cercles internationaux de défense et de sécurité comme successeur potentiel de Stoltenberg, en poste depuis 2014.
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La nomination est probable : l'alliance militaire vieille de soixante-dix ans est à la recherche d'une nouvelle perspective qu'une femme pourrait apporter au poste de secrétaire général, et il devrait s'agir d'une personne dotée d'une forte personnalité et de connexions internationales.
Chris Scaluba, expert au groupe de réflexion Atlantic Council à Washington, affirme que le pays lui-même va promouvoir activement la candidature de Mme Freeland, car le fait d'avoir un secrétaire général canadien peut être souhaitable pour renforcer l'engagement du Canada dans l'alliance. De plus, elle est en règle avec les bonnes personnes :
"On parle beaucoup d'elle dans les cercles de sécurité européens et transatlantiques. Je pense que cela lui donne une chance légitime".
La bataille pour le siège de Stoltenberg est en cours depuis le début de l'année 2020 et plusieurs prétendants ont été nommés, notamment Kolinda Grabar-Kitarovic de Croatie, Dalia Grybauskaite de Lituanie et Kersti Kaljulaid d'Estonie. Le nom de Freeland est apparu à l'automne dernier.
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