Un maire canadien envisage de vendre les camionnettes confisquées aux manifestants
La loi sur l'état d'urgence donne également de tels pouvoirs au gouvernement.
Quelqu'un doit compenser les coûts que la ville a encourus pendant les trois semaines de troubles. L'actuel chef de la police a déclaré que les forces de sécurité rechercheraient activement, infligeraient des amendes et poursuivraient en justice même les manifestants qui quitteraient volontairement les lieux — et au moins 90 camionneurs qui se tenaient dans le centre-ville sont partis samedi.
Le principal camp de protestation situé devant la colline du Parlement a été dégagé. Plus de 100 personnes ont été arrêtées vendredi et 47 samedi. Au total, 170 personnes ont été arrêtées jusqu'à présent. Les policiers ont remorqué 53 véhicules et saisi 22 plaques d'immatriculation.
Des rumeurs de victimes, notamment d'une femme en béquilles piétinée par un cheval, ont été déclarées fausses par la police. La police admet seulement avoir utilisé du spray au poivre et des armes spéciales non létales ARWEN pour se défendre. Cependant, des policiers à cheval ont foncé dans la foule et au moins deux personnes ont été renversées. Les habitants de la capitale canadienne ayant été officiellement priés de ne pas appeler le numéro surchargé du 911, le nombre exact de victimes ne peut pas encore être techniquement donné.
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